(F/NY) anna pavaga - love of my life.

histoire trop compliquée pour que l'on puisse néanmoins l'expliquer à une enfant de quatre ans, hazel est une petite fille qui était pas vraiment prévue au programme. histoire d'un soir, soirée trop alcoolisée où les jeunes d'un âge certain se tournent autour pour finir dans l'même lit, c'est c'qu'il s'est passé sauf qu'il y a eu un couac au programme. quelques temps après, coup d'fil, coup d'massue. la conquête présumée est enceinte, et enceinte d'andreas. quelques longs mois plus tard, hazel est née, et c'est ici qu'ça coince. parce qu'une fois sortie de l'hôpital, la jeune femme délaisse le bébé de quelques jours à peine chez le bouclé, elle demande pas son reste, elle l'assumera pas, c'est clair, cette gamine, elle en veut pas.
alors, la petite a dès lors vécu, grandit plus ou moins avec son père, pas très exemplaire mais qui l'aimait - l'aime - quand même plus que tout au monde, malgré sa célébrité grandissante, malgré le management trop chiant, hazel a toujours été préservée de la célébrité de son père si bien que la petite n'est encore jamais apparue sur les tabloïds et que sûrement aucun d'entre eux n'ont idée de qui elle est.
hazel, c'est une petite fille vive et curieuse, intrépide et joueuse. proche des gens, proche du monde, c'est pas le genre d'enfant désagréable, au contraire. haz, elle a toujours l'sourire aux lèvres, le rire qui creuse des fossettes sur ses joues d'enfant. elle est un peu pot de colle parfois, elle court souvent, à se demander si ça arrive qu'elle soit épuisée. elle est proche des gens, en particulier d'andreas avec qui elle est très fusionnelle. lorsqu'il est à la maison, c'est pas rare qu'elle aille dormir avec lui, après tout : on est mieux dans le grand lit de papa ! toutefois il faut savoir qu'elle reste extrêmement polie et respectueuse même s'il arrive que ses idées se transforment en bêtises parfois, elle n'est pas pour autant une tyran des bacs à sable.